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La régulation des naissances en Afrique
Parmi les problèmes sociaux qui assaillent nos populations africaines, surtout celles du monde rural, il y a celui de la régulation des naissances. Nul n'a besoin de réflechir de midi à quatorze heure pour se rendre compte que plus on est riche, moins on a d'enfants et inversement moins on est riche, plus on a d'enfants. C'est un paradoxe.
Le concept de paternité et maternité responsable tant chanté par les instances onusiennes n'a jamais reçu l'adhésion des populations africaines, du moins celles du monde rural, première cible privilégiée.
A y voir de près, les dispositions prises pour vulgariser ce concept se sont avérées inadaptées aux us et coutumes des bénéficiaires. En effet, si paternité maternité responsables signifie contraception, comment ce message pourra passer dans cet Afrique plus habituée aux plantes médicinales qu'aux produits pharmaceutiques parentés des produits chimiques.
Au delà de l'efficacité du produit artificiel, l'homme africain affiche toujours une méfiance aux sollicitations de l'occident qui semble dire " Vous êtes déjà trop nombreux, limitez vos naissances pour ne pas nous envahir".
Il serait absurde d'affirmer que les mouvements migratoires des clandestins qui se bousculent sur les portes de l'Europe sont dûs à un surplus de population en Afrique mais tout de même, la répartition des biens de la terre ne respecte pas toujours les bornes étatiques fixés par les hommes.
Quoi qu'il en soit, l'Europe ne bénéficie pas de l'amenuisement de sa population tout comme l'Afrique ne gagne pas daventage dans l'excedent de sa population. Par ailleurs, celle-ci est exposée à une mort certaine, si les mesures pour contrer la famine ne sont pas prises à temps.
La politique familiale a été négligé dans beaucoup de pays ces derniers temps, nous pensons qu'il faut y remedier. Certe la famille est indépendante, a droit de s'organiser comme elle veut pour son épanouissement mais, si l'oeil de l'état n' y est pas, c'est un danger écologique.
Si il y a une politique pour protéger les espèces rares en voie d'extinction, ce n'est pas pour que l'homme continue à se conduire selon son unique libido sans la moindre raison. L'intellectuel comme l'illétré doit se dépouiller de l'ancienne vision qui dit " Havyarimana ; c'est Dieu qui donne l'enfant" comme si la resposabilité de l'homme disparait devat la puissance de Dieu.
L'homme est libre d'opérer un bon choix, et ce choix l'engage aux yeux de l'humanité. Puisse nos populations avoir des enfants dont ils sont capables de supporter, voilà le souhait de notre article.
Théon TUYISABE
familleafricaine@yahoo.fr
Le concept de paternité et maternité responsable tant chanté par les instances onusiennes n'a jamais reçu l'adhésion des populations africaines, du moins celles du monde rural, première cible privilégiée.
A y voir de près, les dispositions prises pour vulgariser ce concept se sont avérées inadaptées aux us et coutumes des bénéficiaires. En effet, si paternité maternité responsables signifie contraception, comment ce message pourra passer dans cet Afrique plus habituée aux plantes médicinales qu'aux produits pharmaceutiques parentés des produits chimiques.
Au delà de l'efficacité du produit artificiel, l'homme africain affiche toujours une méfiance aux sollicitations de l'occident qui semble dire " Vous êtes déjà trop nombreux, limitez vos naissances pour ne pas nous envahir".
Il serait absurde d'affirmer que les mouvements migratoires des clandestins qui se bousculent sur les portes de l'Europe sont dûs à un surplus de population en Afrique mais tout de même, la répartition des biens de la terre ne respecte pas toujours les bornes étatiques fixés par les hommes.
Quoi qu'il en soit, l'Europe ne bénéficie pas de l'amenuisement de sa population tout comme l'Afrique ne gagne pas daventage dans l'excedent de sa population. Par ailleurs, celle-ci est exposée à une mort certaine, si les mesures pour contrer la famine ne sont pas prises à temps.
La politique familiale a été négligé dans beaucoup de pays ces derniers temps, nous pensons qu'il faut y remedier. Certe la famille est indépendante, a droit de s'organiser comme elle veut pour son épanouissement mais, si l'oeil de l'état n' y est pas, c'est un danger écologique.
Si il y a une politique pour protéger les espèces rares en voie d'extinction, ce n'est pas pour que l'homme continue à se conduire selon son unique libido sans la moindre raison. L'intellectuel comme l'illétré doit se dépouiller de l'ancienne vision qui dit " Havyarimana ; c'est Dieu qui donne l'enfant" comme si la resposabilité de l'homme disparait devat la puissance de Dieu.
L'homme est libre d'opérer un bon choix, et ce choix l'engage aux yeux de l'humanité. Puisse nos populations avoir des enfants dont ils sont capables de supporter, voilà le souhait de notre article.
Théon TUYISABE
familleafricaine@yahoo.fr
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